- BULLE "MEFIA TE ! fête ses 5 ans !" > étape 2
- Film documentaire puis échanges en écho avec le numéro de septembre 2024 de Mefia Te ! dédié à la jeunesse
Cinéma Le Lux (Bellac)
- Ciné-débat
- Tarif unique 5€
- "Ce n'est qu'un au revoir" de Guillaume Brac puis débat avec la salle
La jeunesse vit-elle bien dans nos campagnes ? Quels sont ses enjeux, qu'a-t-elle à dire ? Mefia Te ! lui pose directement la question au Cinéma Le Lux.
« Les amitiés de lycée peuvent-elles durer toute la vie ? Une chose est sûre, dans peu de temps Aurore, Nours, Jeanne, Diane et les autres diront adieu à leur chambre d’internat, aux baignades dans la Drôme, aux fêtes dans la montagne… »
Le numéro 22 de Mefia Te ! paru en septembre consacre son dossier au thème de la jeunesse. Les jeunes contributrices-teurs vivant sur le territoire ont eu carte blanche pour nous livrer leur regard sur la Basse-Marche. Parmi ces « plumes », plusieurs ont passé leur baccalauréat en juin 2024 et sont désormais partis étudier à la ville. Le sujet du documentaire de Guillaume Brac faisait écho à cela. Pour la causerie qui suivra la projection, l’équipe du journal espère pouvoir compter sur la présence du réalisateur, ainsi que des jeunes rédactrices et rédacteurs.
On pourra leur demander : « alors, c’est comment, de grandir ici, en Basse-Marche ? ».
Événement récurrent depuis quelques éditions de Mefia Te !, voici un nouveau ciné-débat comme passage obligatoire dans cette semaine d'anniversaire, autour d'un thème important.
Crédit photo : une scène de "Ce n'est qu'un au revoir" - Bathysphère.
Retrouvez cette édition 22 avec le dossier jeunesse sur le site du Journal > https://journalmefiate.fr
Le film : "Ce n'est qu'un au revoir"
Un film de Guillaume Brac
France - 2024 - 66 min
Dans les ruines des remparts romains de Die, dans les clairières des forêts alentours, dans les chambres étriquées mais colorées de l'internat, Guillaume Brac filme avec tendresse et délicatesse les derniers instants d'un temps qui bientôt ne sera plus. Celui du lycée, de la vie avec les ami·e·s, des refuges improvisés, de la douceur du printemps.